| Aller à la page : 1, 2 | More informations ? Âge : vingt-trois ans. Birthdate : 06/06/1995 Métier ou études : théoriquement étudiant en commerce l'université, mais il n'y mets jamais les pieds. Résidence : nam-gu Côté coeur : en couple avec hyun erin. désespérément amoureux. Journal :
- Spoiler:
"Que l'ennui est cruel, cruellement ennuyeux, je ne sais pas de terme ni plus fort ni plus vrai ; car seul le semblable se reconnaît au semblable. S'il y avait un mot plus noble et plus expressif, il y aurait du moins encore un mouvement à faire. Mais je reste étendu, inactif ; la seule chose que je vois, c'est le vide, la seule dont je vis, c'est le vide ; le seul milieu où je me meus, c'est le vide. Je ne ressens même pas les souffrances. Le vautour, lui, piquait sans cesse son bec dans le foie de Prométhée ; le poison tombait goutte à goutte sur Loke ; malgré la monotonie, il y avait pourtant là de l'interruption. Même la douleur a perdu pour moi sa vertu apaisante. Si l'on m'offrait toutes les splendeurs ou tous les tourments du monde, comme ces choses me sont également indifférentes, je ne me tournerais pas de l'autre côté, ni pour les atteindre, ni pour les fuir. Je meurs de mort. Quelle chose pourrait me distraire ? La fidélité, si je la voyais résister à toute épreuve, un enthousiasme qui soutiendrait tout, une foi qui transporterait les montagnes ; une pensée enfin, si le la percevais, qui rejoindrait le fini et l'infini. Mais le doute empoisonné de mon âme dévore tout. Mon âme est comme la mer Morte que nul oiseau ne peut survoler ; à mi-chemin, il s'enfonce, épuisé, dans la ruine et la mort." - Kierkegaard
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| | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 22.06.18 16:06 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)Momo est au moins aussi directe que lui. Jisoo ne peut s’empêcher de rire doucement, et se dit que si la situation avait été différente, il aurait bien été un des hommes mentionnés. Il ne sait pas quelle malédiction du ciel s’est abattu sur lui pour qu’il soit resté aussi sage et exclusif depuis les mots officiels. Il n’en souffre même pas trop, pour l’instant. Bien entendu, la frustration, la colère et la rage lui viennent lorsque la jeune femme boude ou est injoignable, mais ce n’est pas tant sexuel qu’à cause du besoin qu’il a de la voir le plus souvent possible. Il s’ennuie sinon. Son seul objet brillant. Et ce voyage dans lequel elle les embarque montre à quel point il n’y a qu’elle pour faire palpiter son coeur. Il se sent presque excité à l’idée d’aller à un endroit dont on ne lui dit absolument rien. Il n’a aucun contrôle.. c’est aussi effrayant qu’enivrant. “Non merci.” il fronce les sourcils et vient la regarder “tu aimerais vraiment me voir faire gémir quelqu’un d’autre que toi ?” Il est curieux. Il sait qu’elle n’est pas amoureuse de lui.. non… il en est persuadé, puisque son coeur et son esprit sont tout entiers pris par Sungjae. Mais il suppose qu’elle a quand même quelques sentiments pour lui, même s’il ne saurait comment les exprimer. En tout cas, il a déjà ressenti sa possessivité, et il serait très vexé de la voir si insensible à l’idée qu’il puisse aller dans les bras d’une autre. Non. Il aimerait qu’elle le punisse d’envisager même une chose de cette sorte, que son ventre se torde douloureusement de l’imaginer avec quelqu’un d’autre. Est-ce que ça arrivera un jour ? Ou sera-t-il éternellement le seul à souffrir de tous les garçons qu’il imagine à ses côtés? Elle joue à celle qui n’est atteinte par rien.. Jisoo le sait, tout aussi expert en la matière. Il la laisse faire. Ils se testent, à s’éviter, alors qu’ils ne veulent rien d’autre que de se sentir l’un en l’autre. Ce n’est pas qu’une affaire de fierté. Jisoo est souvent excité par ce genre de jeu, et la fuite qu’elle lui montre ne fait qu’augmenter son désir et son envie. C’est comme ça que ça marche. Plus c’est innaccessible, plus on le veut. Et elle… Momo a beau être à lui, théoriquement, il n’y a rien pourtant qui la laisse enchaînée. Momo retire sa veste. Sans baisser le regard directement, Jisoo repère à la périphérie la poitrine nue de la jeune femme sous son fin haut noir. Des frissons lui remontent dans le bas ventre, sa virilité le lance. arrête de faire l’idiot, arrête de prendre ton temps, son bassin le presse, et pourtant il ne l’écoute pas. Il n’est pas défini par ses instincts primaires, sinon, à quoi bon être humain ? “C’est ce que tu préfères ?” vient-il lui demander, sans bouger, son regard posé sur son visage. “Quand je vais lentement, que je te regarde dans les yeux.. quand on joue aux amoureux?” lui susurre-t-il en se rapprochant. Il reste quand même à un pas ou deux d’elle. “Ou est-ce que tu préfères une intensité.. telle que tu peux imaginer ton bassin se briser sous mon désir ?” Il finit par venir devant elle pour attraper son menton, doucement. “Je ne sais plus où le jeu commence.. et où ce que je ressens pour toi se finit” déclare-t-il en laissant une certaine tristesse parer son regard. “Je n’aime pas ça…” chuchote-t-il “me demander si tu partiras demain, ou dans un mois. pourquoi est-ce que tu me tortures tant ?” Featuring : @choi momo
gabi le loup |
| | | Choi MomoPrincesse du vice More informations ? Âge : 20 ans Birthdate : 07/07/1998 Métier ou études : Petit génie en fac de sciences. Mannequin. Côté coeur : Une histoire gachée et une autre jamais commencée. Seule la haine l'enlace à présent, ainsi que les remords. C'est tellement plus facile de se détruire et de faire mal aux autres plutôt que s'avouer vaincue et triste... Journal :
スムーズ·クリミナル
We sex again in the morning,
my breasteses is your breakfast
We going in, we be all night ♡
Playlist : The diva dance - Princesse - I'm a mess - Yeux disent - PVP - Dangerous woman - Comment je vais faire - Les filles désir - There are worse things I could do - Le mal est fait - Look What You Made Me Do - Alien - Finir mal - Can't Remember To Forget You - Désolé - Don't cha - à fleur de toi - Oui, je l'adore - Bécane - C'est écrit - Monster - La belle et le bad boy - 뚜두뚜두 - Love you more - Les meilleurs ennemis - (Not) the one - Le chemin - Liberian Girl - Paradise Circus - L'amour avec toi - Just another girl - à ma place - On n'oublie pas - This love - Drôle de question - Transformer - Bad girl, good girl - Lone digger - What doesn't kill you (stronger) - Crying in the club
Premièrement, dis-moi juste pour qui tu te prends ? Tu as le culot d'essayer de mettre en pièce mon courage. Deuxièmement, pourquoi as-tu essayé de me faire passer pour une folle ? Je n'aurais jamais dû te faire confiance. Troisièmement, pourquoi n'es tu pas celui que tu avais juré être ? Pourquoi m'as-tu laissée brûler ici ? J'étais trop jeune pour subir cette douleur. Je me sens condamnée dans les chambres d’hôtel, plaquée contre le mur. Comptant les blessures et j'essaye de toutes les engourdir. Je t'ai tout donné de moi : mon sang, ma sueur, mon cœur et mes larmes. J'étais là quand il n'y avait personne. T'en rends-tu compte ?
Son regard me traverse le corps comme une longue aiguille, on dirait bien qu'on est cuit. Nous deux dans la même voiture on fonce vers la mort. On se déteste tellement qu'on refait l'amour... parce que c‘est comme de la drogue on a de quoi planer, sur mon dos son torse fait de l'aquaplaning. Le problème c‘est que ça me rappelle pourquoi je l'aime, je revois le début, les premières semaines, on pourrait repartir à zéro et prendre le premier avion comme dans un film de merde
Mais c'est du délire...
Garde le sourire, plus rien est grave
tant qu‘il nous reste une seconde
de souvenir dans le crâne...
Nos deux corps pourraient mourir
j'ai déjà fait le deuil
Maintenant pars loin de moi
une larme cachée dans l’œil...
Notre histoire n'aurait jamais pu finir
dans le calme et la tendresse
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Messages : 2357 | | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 24.06.18 23:40 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)Faire gémir quelqu’un d’autre qu’elle ? Hum. Elle n’avait pas pensé à ce détail. Un détail pourtant primordial qui, rien qu’en imaginant la scène, fait remonter un puissant sentiment de jalousie et de possessivité en elle. Haha… Non. C’est juste impossible. Jamais de la vie. Jamais tant qu’il perdura entre ses filets. Il est à elle. Il lui appartient. Il lui appartient autant de temps qu’elle le voudra, qu’elle daignera avoir besoin de lui. SON homme. Elle en avait déjà perdu un et il était hors de question pour qu’un schéma pareil se reproduise à nouveau. Adorablement égoïste et puérile, Momo ne laisse rien paraître pour autant. C’est même avec une voix chantante et légère qu’elle finit par répondre, jouant avec sa joli manucure « Ah ? Qu’est ce qui t’a laissé penser que tu pourrais la toucher ? Toi… tu regarderais simplement. Attaché à une chaise, forcément. » Oh, vil ange démoniaque. Mais bon, cela allait de soi n’est ce pas ? Forcément, oui… Sauf que du coup, la définition du terme "plan à trois" était grandement à revoir. Qu’importe. Qu’il boude s’il veut. Ce n’est parce que c’était son anniversaire qu’elle lui ferait une quelconque fleur. Tous aussi expert l’un que l’autre en la matière. Le déroulement est différent à chaque fois mais la finalité reste toujours la même. Langoureuse et effrénée, sans limite aucune. Elle meurt d’envie qu’il la rappelle à l’ordre, qu’il lui montre à quel point il peut la faire encore plus vibrer avec le temps. Ses jambes autour de sa taille, ses ongles plantés sans ménagement dans son dos… Ils ne sont que deux mécréants de la luxure et des faux semblants. Si Momo joue merveilleusement celle que rien n’atteint, c’est une envie qui se retrouve de plus en plus ardente dans sa petite culotte. Elle ne dit rien mais hurle de désir rien qu’en venant le défier de son regard de biche, le tue sans ménagement dans ses silences tout en parvenant à lui faire comprendre qu’il n’y a aucune échappatoire. Sa poitrine ne le montre-t-elle pas merveilleusement ? Elle est si prête à l’accueillir dans son entre, à se laisser posséder, à l’autoriser à se glisser en elle comme un serpent affamé. Sa veste tombe au sol, avec autant de délicatesse que de désinvolture. Elle sourit, Momo. Elle sourit faiblement, adorablement… avec cette foutue gueule d’ange sous laquelle Satan en personne se dissimule. Déesse de la débauche et de l’envie. Son regard se baisse pour observer un Jisoo devenant manifestement trop à l’étroit dans son pantalon. Ses cils papillonnent. Ce qu’elle préfère ? S’il savait. Elle aime tout. Absolument tout. Pourquoi ne pas varier les plaisirs, lorsque tant de possibilités sont possibles ? « Voyons… » Murmure-t-elle tout en penchant son minois sur le coté, feignant une importante réflexion. Une fine esquisse revient sublimer ses lèvres avant qu’elle ne rétorque, d’une voix suave « On peut toujours jouer aux amoureux… pendant que tu me brises sous ton désir. » Mixer les envies, alterner l’ivresse ainsi que le rythme de leurs hanches. Se laissant saisir par le menton, ses yeux se plantent sans ménagement dans les siens alors que son sourire reste. Elle le regarde comme ces femmes éprises le font avec l’homme qui hante ses pensées. Joue-t-elle encore la comédie ? La frontière entre l’amusement et la réalité semble dangereusement effritée. Ses lèvres s’abaissent peu à peu devant ce semblant de craintes avoué et ces traits tout à coup plus mélancoliques qui lui font face. « Est-ce que c’est grave… ? » Questionne-t-elle alors que ses doigts viennent s’accrocher à la chemise de Jisoo, fébrilement. Elle joue passivement avec ses boutons, tout à coup plus enfantine, baissant son regard tout en se laissant son menton prisonnier de sa prise. Est-ce que c’est grave de ne plus savoir ? Que ressent-il pour elle, dans le fond ? Et elle, qu’éprouve-t-elle ? Finissant par le regarder de nouveau, la japonaise rapprochent ses lèvres des siennes, dangereusement. « Si tu as peur que je parte, alors montres moi combien tu as envie que je reste. » Souffle-t-elle sans prévenir d'un timbre capricieux, aussi tendre que cruelle. Featuring : @kwon jisoo
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"Que l'ennui est cruel, cruellement ennuyeux, je ne sais pas de terme ni plus fort ni plus vrai ; car seul le semblable se reconnaît au semblable. S'il y avait un mot plus noble et plus expressif, il y aurait du moins encore un mouvement à faire. Mais je reste étendu, inactif ; la seule chose que je vois, c'est le vide, la seule dont je vis, c'est le vide ; le seul milieu où je me meus, c'est le vide. Je ne ressens même pas les souffrances. Le vautour, lui, piquait sans cesse son bec dans le foie de Prométhée ; le poison tombait goutte à goutte sur Loke ; malgré la monotonie, il y avait pourtant là de l'interruption. Même la douleur a perdu pour moi sa vertu apaisante. Si l'on m'offrait toutes les splendeurs ou tous les tourments du monde, comme ces choses me sont également indifférentes, je ne me tournerais pas de l'autre côté, ni pour les atteindre, ni pour les fuir. Je meurs de mort. Quelle chose pourrait me distraire ? La fidélité, si je la voyais résister à toute épreuve, un enthousiasme qui soutiendrait tout, une foi qui transporterait les montagnes ; une pensée enfin, si le la percevais, qui rejoindrait le fini et l'infini. Mais le doute empoisonné de mon âme dévore tout. Mon âme est comme la mer Morte que nul oiseau ne peut survoler ; à mi-chemin, il s'enfonce, épuisé, dans la ruine et la mort." - Kierkegaard
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| | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 27.06.18 20:39 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)Jouer aux amoureux.. l’expression lui arrache un triste sourire. Elle semble être tout à fait sûre d’où elle se positionne sur la ligne. Aucunement sérieuse, aucunement effrayée de se laisser aller à quelque chose de dangereux. Comment peut-elle comprendre, alors? Quoi qu’il lui dise.. même avec du sérieux, même en se confiant et en s’ouvrant comme il ne le ferait pas avec quelqu’un d’autre, elle le prend avec légèreté. Il ne peut pas lui en vouloir. Pourquoi gâcher l’ambiance d’un voyage qui est censé les détendre et leur changer les idées ? Il n’arrive pas à se laisser aller, pas en sa compagnie. Dès qu’il croise son regard, il se demande si elle pense à Sungjae, si elle préférerait être avec lui, si, intérieurement, elle les compare en le trouvant tellement terne aux côtés de son ancien amant. L’idée ne quitte pas son esprit. Il joue à celui que rien n’atteint, de façon plus ou moins concluante selon les moments, mais Jisoo se perd bien trop à son goût. Il ne trouve plus de lien entre ses pensées, ses actions et ses paroles, n’est plus tout à fait certain de la validité de son comportement. “Il n’y a que ça, qui t’importe ?...” vient-il demander doucement, sans aucun sentiment négatif dans sa voix. Il aimerait pouvoir adopter le même comportement. Grave ? Il ne sait pas. Et de la façon dont elle pose la question, il ne se sent pas le droit de répondre un “oui”, grave et sérieux. Il n’a pas le droit de gâcher leurs moments, pas d’effacer toute possibilité de se laisser aller à l’ivresse du désir. Il frissonne sous ses doigts qui viennent s’accrocher à sa chemise, vient rencontrer son regard, brûlant d’envie malgré tout. Il ne se laisse pas encenser par ses paroles. Ce qu’elle lui sort.. Soudainement, il le trouve beaucoup trop cruel. Les doigts qui emprisonnent son menton remontent le long de sa mâchoire pour se poser contre sa joue, affectueusement. Une certaine tristesse pare la douceur de ses gestes, sans qu’il ne puisse s’en empêcher. Reprends toi Jisoo, s’il te plaît. Il se hait de tomber dans une telle mélancolie. Momo lui a répété de nombreuses fois de ne pas parler de Sungjae, mais il a à nouveau envie d’aborder le sujet. A croire que ce serait Jisoo, le gars totalement amoureux du démon… “Si c’est ça que tu désires” finit-il par sortir du bout des lèvres, comme un esclave qui accepte son sort. Malgré la douleur qui vient enserrer son coeur et sa poitrine, de se sentir dénié de ce que ses sentiments crient à l’intérieur de lui. Il n’a pas à lui imposer. Il doit seulement.. ravaler tout ce qui le perturbe, et être le meilleur petit ami possible. Tout ce qu’elle veut de lui. Et si elle se contente de sexe passionné et de séances de câlins sur le canapé, sans jamais aborder quoi que ce soit de trop sérieux, sans jamais lui laisser apercevoir une quelconque affection à son égard.. Il peut le supporter, non ? Depuis quand veut-il plus que ce qu’un corps bien formé peut lui apporter ? Énervé à son propre égard, de se sentir dans une position si faible face à Momo qui ne cesse de le torturer inconsciemment, une main vient agripper son fessier avec une certaine ardeur, pour la coller contre lui. Jisoo lui fait sentir sans détours l’envie qui lui serre le bas ventre, s’appuie contre elle en la transperçant du regard. Il finit par venir embrasser sa mâchoire et remonter à son oreille, pour venir torturer de ses dents son cartilage tout en soupirant contre sa peau. Sa main libre vient trouver son sein érigé sous le fin tissu noir, et vient en épouser le galbe avec réconfort, face à des courbes qu’il connaît par coeur. L’espace d’un instant, des mots veulent passer la barrière de ses lèvres, dans la chaleur du moment, ceux qui lui viennent à l’esprit, pour exprimer la façon dont il se sent contre elle à cet instant. Heureusement pour lui, ils s’évanouissent bien vite au fond de son esprit. Pour éviter de se perdre, il retourne la jeune femme violemment et vient passer ses bras autour d’elle pour déboutonner son jean serré. Ses lèvres viennent butiner la jonction entre son cou et son épaule, et il se colle avec envie à son dos après l’avoir débarrassé de son pantalon. Ses canines viennent presser contre sa peau, jusqu’à laisser une trace rouge, témoin de son envie de la dévorer toute entière. Featuring : @choi momo
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Premièrement, dis-moi juste pour qui tu te prends ? Tu as le culot d'essayer de mettre en pièce mon courage. Deuxièmement, pourquoi as-tu essayé de me faire passer pour une folle ? Je n'aurais jamais dû te faire confiance. Troisièmement, pourquoi n'es tu pas celui que tu avais juré être ? Pourquoi m'as-tu laissée brûler ici ? J'étais trop jeune pour subir cette douleur. Je me sens condamnée dans les chambres d’hôtel, plaquée contre le mur. Comptant les blessures et j'essaye de toutes les engourdir. Je t'ai tout donné de moi : mon sang, ma sueur, mon cœur et mes larmes. J'étais là quand il n'y avait personne. T'en rends-tu compte ?
Son regard me traverse le corps comme une longue aiguille, on dirait bien qu'on est cuit. Nous deux dans la même voiture on fonce vers la mort. On se déteste tellement qu'on refait l'amour... parce que c‘est comme de la drogue on a de quoi planer, sur mon dos son torse fait de l'aquaplaning. Le problème c‘est que ça me rappelle pourquoi je l'aime, je revois le début, les premières semaines, on pourrait repartir à zéro et prendre le premier avion comme dans un film de merde
Mais c'est du délire...
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Messages : 2357 | | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 28.06.18 15:48 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)Ce que ça qui lui importe ? Arquant faiblement un sourcil, Momo se retrouve pantoise pendant quelques secondes, presque penaude. Ce sourire qu’il affiche étrangement… Il n’est pas comme d’habitude. En rien sarcastique, en rien moqueur ou même amusé. Elle ne sait pas comment l’interpréter. Que ça. Qu’est ce que le ça ? Voulait-il parler de son envie de vouloir faire l’amour avec lui ? Qu’ils s’abandonnent une fois de plus comme des fous dans un lieu totalement incongru ? « Ce qui m’importe, c’est de passer du temps avec toi… » Suppose-t-elle alors au bout d’un moment, d’une voix aussi douce que quelque peu hésitante. La sensation soudaine d’être une enfant ayant peut être donné la mauvaise réponse et qui en deviendrait craintive. Ses doigts serrent un peu plus fort le tissu de sa chemise, la froisse avec une tendresse timide et indescriptible. Si elle est comme ça, aussi envieuse, aussi désireuse… c’est surtout parce que c’est plus facile. Plus facile d’agir dans la gestuelle que dans les aveux. Bien plus facile de se servir de sa langue pour caresser sa peau plutôt que lui parler. Sauf que la nipponne ne voit rien. Pas même le trouble qui habite cet homme s’étant désigné pour être son petit ami… ni ce semblant de douleur qu’il semble éprouver par sa faute. Pour elle, il est resté l’indestructible Jisoo. Ce Jisoo imperturbable, bien plus intelligent qu’elle en réalité. Trop intelligent pour faire la bêtise de tomber amoureux, qui serait de toute façon incapable d’éprouver ce genre de sentiments. Des sentiments tellement stupides, cupides. Et c’est bien pour cela qu’elle l’admire, qu’elle ne regrette pas d’avoir voulu essayé avec lui. Mais au final, Momo ne se rend pas compte de la confusion qu’elle amène. Elle ne réalise pas oh combien elle se trompe. Même en affirmant qu’il est son petit ami… elle agit avec lui comme s’il n’était qu’un amant. Elle les fait se mélanger, se confondre, se perdre dans une relation bien trop complexe derrière des allures simples et légères, désintéressées. Lorsque la main de Jisoo vient caresser tendrement sa joue, Momo soupire, son regard brillant planté dans le sien. Heureusement qu’il ne le mentionne pas. Qu’il se retient de prononcer son nom. Si sa bouche avait eu le malheur de murmurer un seul et même à peine audible « Sung Jae »… Elle l’aurait giflé. Giflé trop fort, au point qu’il en garde une trace rouge durant des heures. Non... Hors de question de le mentionner. Et surtout pas à cet instant, surtout pas en ce jour malgré tout spécial pour le beau coréen. Elle en aurait été terriblement furieuse. La belle se transformant en une bête féroce et ivre de violence. Elle ne veut plus jamais parler de Yoon Sung Jae, repousse au plus tard l’échéance, fuit le moment fatal où ils devront forcément revenir là-dessus. Presque comme une malade mentale, une cinglée qui se mettrait en boule afin de ne plus rien entendre, Momo nie. Comme une dérangée capable de s’ouvrir les veines pour avoir mal autrement qu’en pensant à son premier émois, elle niera toujours. Elle ne veut pas le dire, surtout pas l’avouer. Avouer que, malgré tout ce qu’elle peut vivre avec Jisoo, malgré tous les sentiments positifs qu’elle ressent grâce à lui… Le diable n’est toujours pas parti. Le diable reste encore présent en elle, comme un venin fourbe qui parcourt l’ensemble de ses veines. Elle ne lui dira pas que, parfois, il lui arrive de rêver encore et toujours plus fort de Sung Jae ; alors que c’est dans ses bras à lui qu’elle s’est pourtant endormie. Elle ne lui dira pas non plus qu’elle se déteste pour ça, au point de s’en réveiller avec une nausée terrible, le cœur palpitant de rage. Et plus que tout : elle ne lui dira surtout pas oh combien elle aime toujours aussi épouvantablement cet homme… malgré toute la haine qu’elle peut ressentir à son égard. Il vient agripper son fessier, presser son petit bassin contre le sien. Aussitôt, la belle japonaise pousse un délicieux râle de plaisir en sentant l’envie affirmée de son petit ami tout contre elle. Contre sa propre chaleur encore dissimulée derrière le tissu. Elle le tue du regard également, presque amoureusement, mâchoire serrée de désir et de trouble. Cette main tout contre son sein... elle lui fait perdre la tête. Oui, c’est bien ça qu’elle désire. Qu’ils s’emboitent encore, qu’ils s’unissent dans la sueur d’une hargne sexuelle mêlée à un tendre érotisme. Parce que, c’était comme ça que cela devait marcher entre eux, n’est ce pas ? C’était la base même de cette relation, la meilleure façon pour que cela puisse continuer de fonctionner. Et il le devine. Il la connaît par cœur en venant la chercher aux endroits les plus sensibles de son corps et de son âme. Frémissant de plaisir face à ses dents agrippant son oreille, Momo ne peut que se presser un peu plus contre son torse, collant sans ménagement les battements envieux de son cœur contre les siens. Ses doigts caressent chaque parcelle de peau nue qu’il veut bien offrir pour le moment, visage, cou, mains… alors qu’un soupir s’échappe de ses lèvres parfumées. Il la retourne brusquement, la fait pousser un léger cri de surprise avant qu’elle ne se mette à rire adorablement, face à l’ardeur de ses gestes. Sauf qu’il ne plaisante pas. Il ne plaisante pas du tout même… mais elle ne s’en rend pas compte. Trop dans le jeu, trop dans l’envie… Une fois son jean ôté, Momo n’hésite pas à faire sensuellement danser son fessier faiblement rebondie contre le bassin désireux du plus vieux, venant le chercher avec insolence et langueur, divine et dangereuse. Tout en agrippant l’une de ses fesses masculine et ferme d’une main, sa jumelle vient s’accrocher à sa nuque, hargneusement. Son sang bouillonne de le sentir laisser une marque sur sa peau... et c’est déjà ivre de plaisir face à cette agréable douleur qu’il lui a infligé que la démone s’empresse de se retourner pour faire face à Jisoo. Sans prévenir, elle le pousse violemment, le bloque entre elle et la table en mettant ses bras de part et d’autres de son corps, mains posées sur le marbre. « As-tu réellement osé faire ça… ? » Demande-t-elle d’une voix aussi douce que sifflante, ses yeux noirs le scrutant avec autant d’envie que de sévérité. N’attendant pas de réponse, elle le force à grimper sur la table, à s’y allonger pendant qu’elle y monte à son tour comme une lionne affamée surplombant sa proie au sol. Il ne lui faut pas plus de cinq secondes pour faire éclater les boutons de cette chemise bien trop encombrante, libérant ainsi le torse merveilleusement sculpté de Jisoo. Ce torse où ses lèvres se jettent aussitôt. Tout contre une peau aux pores de plus en plus visibles, elle se met à le torturer de baisers, de coups de langues lents et meurtriers, de morsures endiablées marquant alors sans ménagement son épiderme tourmenté. Ses ongles se plantent dans les bras du jeune homme qu’elle tient fermement afin qu’il ne bouge pas, qu’il ne songe même pas à s’échapper. Se nourrissant avec ivresse de lui, elle soupire contre sa peau, ose venir affronter ses yeux et le provoquer d’un puissant regard noir… démoniaque et pourtant si belle. Si tentante. Elle est son venin à lui, celui qui parcourt l’ensemble de ses veines… Featuring : @kwon jisoo
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"Que l'ennui est cruel, cruellement ennuyeux, je ne sais pas de terme ni plus fort ni plus vrai ; car seul le semblable se reconnaît au semblable. S'il y avait un mot plus noble et plus expressif, il y aurait du moins encore un mouvement à faire. Mais je reste étendu, inactif ; la seule chose que je vois, c'est le vide, la seule dont je vis, c'est le vide ; le seul milieu où je me meus, c'est le vide. Je ne ressens même pas les souffrances. Le vautour, lui, piquait sans cesse son bec dans le foie de Prométhée ; le poison tombait goutte à goutte sur Loke ; malgré la monotonie, il y avait pourtant là de l'interruption. Même la douleur a perdu pour moi sa vertu apaisante. Si l'on m'offrait toutes les splendeurs ou tous les tourments du monde, comme ces choses me sont également indifférentes, je ne me tournerais pas de l'autre côté, ni pour les atteindre, ni pour les fuir. Je meurs de mort. Quelle chose pourrait me distraire ? La fidélité, si je la voyais résister à toute épreuve, un enthousiasme qui soutiendrait tout, une foi qui transporterait les montagnes ; une pensée enfin, si le la percevais, qui rejoindrait le fini et l'infini. Mais le doute empoisonné de mon âme dévore tout. Mon âme est comme la mer Morte que nul oiseau ne peut survoler ; à mi-chemin, il s'enfonce, épuisé, dans la ruine et la mort." - Kierkegaard
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| | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 04.07.18 14:43 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)- chô chô -18 warning:
Elle le retourne violemment. Il n’attend que ça, qu’elle prenne le contrôle de la situation. Qu’elle lui fasse oublier toutes ces pensées interdites qui s’égarent dans son esprit, qu’elle lui fasse oublier les sentiments qu’il lui croit ressentir et lui rappelle qu’ici, dans leur relation, ils n’ont pas leur place. Malgré le label apposé à leur relation, rien n’a vraiment changé par rapport à avant, hein ? A part l’exclusivité. Au dehors de ça, ils se comportent toujours comme des amants qui ne cessent de se chercher avec envie, qui balancent tout pour goûter à la peau de l’autre et profiter d’une union charnelle aussi parfaite que déroutante. Ils ont une alchimie parfaite. Et s’ils sont trop dérangés pour s’accorder sur de nombreux points, c’est dans l’union de leurs corps qu’ils se retrouvent à la moitié du chemin. Momo le pousse contre la table, et il lui adresse un demi sourire, bien trop excité par rapport à la violence qu’elle lui offre à ce moment là. Elle le coince, l’emprisonne, et peut-être qu’au final il n’a pas envie que cet avion se pose un jour. Qu’ils restent éternellement là, dans l’air, fassent des tours et multiplient les orgasmes jusqu’à ce que leurs corps mettent le hola.
Face à sa question, il lève un sourcil provocateur et ne bouge aucunement son regard, profondément fixé dans le sien. Son érection empire à cause du ton qu’elle emprunte, et de son corps chaud qu’il perçoit à quelques centimètres du sien. Il a envie qu’elle se dépêche.. et qu’elle le torture tout à la fois, qu’elle le rende fou d’envie et ne se presse pas de lui donner satisfaction. Il a envie d’avoir mal, mais de sa main seulement, celle à qui il donne le contrôle entier sur son corps et son esprit, celle qui a tous les droits sur lui. Son dos rencontre le froid du marbre, et c’est une Momo féroce qui vient le chevaucher sans crainte. La vision qu’elle lui offre est divine, et c’est malgré la frustration qu’il laisse Momo ruiner sa chemise, sans lui en vouloir une seconde. Son regard est brûlant, affamé, et il s’imagine déjà en elle, goûtant le plaisir sans une once de honte. Il grogne peut-être une fois, deux fois, même trois face aux blessures qu’elle lui inflige, face à son torse dont il observera les marques plus tard dans le miroir. Il finit pourtant par abandonner, résigné. Au final, cela ne lui dérange pas tant, que Momo laisse son empreinte. La douleur ne fait qu’augmenter son excitation, et il presse envieusement son bassin contre celui de Momo, trop hâtif de la voir le débarrasser de son pantalon aussi rapidement que son haut.
Elle finit par venir l’observer. Ses ongles, fermement plantés dans ses bras, le tiennent prisonnier. Il n’a nulle envie de bouger. Là, comme ça, aux prises d’une femme étonnamment dominante, il sent un désir sans nom faire trembler chaque partie de son corps. “Momo…” vient-il murmurer en la fixant avec envie, passant distraitement sa langue sur sa lèvre inférieure face à la vision de cette femme en total contrôle. “Fais moi mal…” lance-t-il dans un murmure, avant d’ajouter “fais moi jouir…” en tentant de se débattre fermement sous elle. S’il voulait se libérer il pourrait le faire, aisément. Mais il n’en a aucunement envie. "Torture moi... jusqu'à la fin"
Featuring : @choi momo
gabi le loup |
| | | Choi MomoPrincesse du vice More informations ? Âge : 20 ans Birthdate : 07/07/1998 Métier ou études : Petit génie en fac de sciences. Mannequin. Côté coeur : Une histoire gachée et une autre jamais commencée. Seule la haine l'enlace à présent, ainsi que les remords. C'est tellement plus facile de se détruire et de faire mal aux autres plutôt que s'avouer vaincue et triste... Journal :
スムーズ·クリミナル
We sex again in the morning,
my breasteses is your breakfast
We going in, we be all night ♡
Playlist : The diva dance - Princesse - I'm a mess - Yeux disent - PVP - Dangerous woman - Comment je vais faire - Les filles désir - There are worse things I could do - Le mal est fait - Look What You Made Me Do - Alien - Finir mal - Can't Remember To Forget You - Désolé - Don't cha - à fleur de toi - Oui, je l'adore - Bécane - C'est écrit - Monster - La belle et le bad boy - 뚜두뚜두 - Love you more - Les meilleurs ennemis - (Not) the one - Le chemin - Liberian Girl - Paradise Circus - L'amour avec toi - Just another girl - à ma place - On n'oublie pas - This love - Drôle de question - Transformer - Bad girl, good girl - Lone digger - What doesn't kill you (stronger) - Crying in the club
Premièrement, dis-moi juste pour qui tu te prends ? Tu as le culot d'essayer de mettre en pièce mon courage. Deuxièmement, pourquoi as-tu essayé de me faire passer pour une folle ? Je n'aurais jamais dû te faire confiance. Troisièmement, pourquoi n'es tu pas celui que tu avais juré être ? Pourquoi m'as-tu laissée brûler ici ? J'étais trop jeune pour subir cette douleur. Je me sens condamnée dans les chambres d’hôtel, plaquée contre le mur. Comptant les blessures et j'essaye de toutes les engourdir. Je t'ai tout donné de moi : mon sang, ma sueur, mon cœur et mes larmes. J'étais là quand il n'y avait personne. T'en rends-tu compte ?
Son regard me traverse le corps comme une longue aiguille, on dirait bien qu'on est cuit. Nous deux dans la même voiture on fonce vers la mort. On se déteste tellement qu'on refait l'amour... parce que c‘est comme de la drogue on a de quoi planer, sur mon dos son torse fait de l'aquaplaning. Le problème c‘est que ça me rappelle pourquoi je l'aime, je revois le début, les premières semaines, on pourrait repartir à zéro et prendre le premier avion comme dans un film de merde
Mais c'est du délire...
Garde le sourire, plus rien est grave
tant qu‘il nous reste une seconde
de souvenir dans le crâne...
Nos deux corps pourraient mourir
j'ai déjà fait le deuil
Maintenant pars loin de moi
une larme cachée dans l’œil...
Notre histoire n'aurait jamais pu finir
dans le calme et la tendresse
- - - - - - - - - - - - - - - -
Messages : 2357 | | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 06.07.18 23:16 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)- -18 hot hot hot:
Elle veut le rendre fou. Elle veut le posséder et lui faire comprendre que nulle ne part ailleurs, il ne pourra trouver autant de plaisir à présent. Il lui appartient. Il est à elle. Et elle compte bien le garder sous son emprise, autant de temps qu’elle le voudra. Cette envie soudaine de le punir… de lui faire monter une fièvre qu’il n’aura jamais connu auparavant avec qui que ce soit… Tout ça la prend aux tripes. Il l’énerve, il la rend dingue. Dingue de lui, de son attitude de sale gosse… de ses airs de fils à papa qui sait toujours tout mieux que tout le monde, de sa bouche de bel emmerdeur qui se permet d’user de sarcasmes avec toujours trop de légèreté. Elle le hait. Elle l’adore. Cet homme est dangereux. Cet homme est un démon. Mais si elle le souhaite, elle peut devenir pire que le diable. Et ça, Jisoo risque de l’apprendre à ses dépends. Ce moment qu’ils s’apprêtent à vivre, à mille lieux au dessus de cet océan de nuages… il sera inoubliable. Momo s’en fait secrètement la promesse, alors que sa langue vient farouchement gouter aux abdominaux du plus vieux, que ses dents martyrisent agréablement sa peau. Et lorsqu’elle remonte pour venir tourmenter son cou, un soupire intense de plaisir et de frustration franchit la barrière de ses lèvres en sentant le bassin de Jisoo se fondre envieusement contre le sien ; lui témoignant sans détours d’une envie durcie et pressante toujours prisonnière dans son pantalon. Mais plutôt que l’enlever de suite, la jolie japonaise préfère le tourmenter encore plus en osant répondre à ses ondulations érotiques, dansant alors langoureusement contre lui, mouvant son intimité contre la sienne avec une langueur bien trop divine et irritante.
Elle finit par venir le scruter, d’un regard aussi noir qu’envoutant, fiévreux à souhait. Il tremble. Tremble de désir sous son emprise. Aime-t-il ça à ce point ? Sans pouvoir y résister, Momo laisse un bien beau sourire flotter sur ses lippes, tandis que ses yeux de lionne continuent de toiser amoureusement l’homme qu’elle tient fermement prisonnier. Qu’il continue. Qu’il continue à murmurer son prénom de la sorte, aussi faiblement, avec cette sensualité à fleur de peau. Le temps semble s’arrêter face à la demande qu’il se risque à chuchoter. Lui faire mal… « Vraiment… ? » Souffle-t-elle d’un air autant épris que désinvolte, une mèche de cheveux venant joliment cacher son visage poupon. En l’entendant la supplier de le faire jouir, une décharge électrique vient merveilleusement amplifier l’envie déjà bien trop ressentie dans son bas ventre, et c’est une Momo farouche qui soupire en pressant un peu plus fortement son bassin contre celui du coréen. Ses ongles se plantent sans ménagement dans ses bras musclés lorsqu’il tente de se débattre... et c’est sans prévenir qu’elle vient mordre sa lèvre pulpeuse jusqu’au sang, comme un vampire affamé. Avec un plaisir sans gêne, elle vient lécher la blessure, savourant le gout ferreux comme si elle appréciait le plus délicieux de tous les crus. « Tu as vraiment envie que je te torture… ? » Demande-t-elle tout bas, comme s’ils se chuchotaient un secret, laissant une fine lignée de sang lier la pulpe de leurs lèvres tremblantes de désir. Son regard ne lâche pas le sien. « Jouir… tu vas tellement le faire, Jisoo… » Assure-t-elle alors que, dans un mouvement gracile, elle finit par se redresser et sensuellement enlever son haut ; offrant alors une sublime vue sur sa poitrine dépourvue de lingerie. « Je vais t’épuiser… tu vas me détester… » Promet-elle en venant choyer quelques secondes sa joue… avant de se transformer à nouveau en diablesse imprévisible et le gifler sans prévenir ; souriant ensuite narquoisement. Avant même qu’il n’ait le temps d’en être furieux, elle remonte un peu plus sur son ventre et vient d’une main experte déboucler la ceinture de son pantalon qu’elle récupère. Ceinture qu’elle vient ensuite attacher autour des poignets de Jisoo. Poignets qu’elle remonte au dessus de sa tête afin qu’il ne puisse plus rien contrôler… allongeant ensuite son corps presque nu aux cotés du sien.
D’un regard aussi noir qu’épris, Momo affirme, adorablement « Tu es à moi. Tu m’appartiens Kwon Jisoo. Laisse-moi te le prouver… » Sa voix cassée se brise dans le cou du jeune homme qu’elle vient torturer à nouveau de baisers et de morsures, ses doigts finissant par bien trop lentement glisser sous son boxer. S’emparant avec une cruelle langueur de sa virilité déjà trop tendue, la belle se contente de la presser furieusement entre ses phalanges sans pour autant céder à une série de vas et viens qui serait pourtant dument appréciée et méritée. Elle le frustre, elle joue avec ses nerfs, le fait tourner en bourrique. Et lorsqu’elle le sent sur le bord de l’explosion, la japonaise se décide alors à lui occasionner un premier coup, sans prévenir, brusquement. Une cruelle décharge de plaisir, qui s’en suit d’une autre, sans pour autant assurer que le rythme restera le même, que la fréquence ne changera pas d’un instant à un autre. Son pouce vient recueillir une petite goute de plaisir sur l’extrémité, signe d’une excitation frustrée et à son apogée. Lâchant un petit rire suave, son pouce caressant l’endroit pour l’humidifier un peu plus, elle vient susurrer à l’oreille de Jisoo, onctueusement « Je te fais de l’effet… Pas vrai, mon amour ? » Aussitôt, ses ongles viennent se taquiner avec sadisme l’érection du jeune homme, alors que ses canines s’agrippent à son cartilage. « …Pas vrai ? » Insiste-t-elle d’une voix onctueuse, suçotant son lobe tout en agrippant farouchement sa chevelure courte de sa main libre… finissant enfin par lui offrir une véritable séance de vas et viens, tendrement. Le pantalon glisse jusqu’à tomber par terre, suivit rapidement par le boxer. Tout en griffant sensuellement son torse déjà rempli de jolies ecchymoses, Momo descend de plus en plus bas… s’arrêtant à la limite ultime de l’interdit. « …Demande-moi le. » Ordonne-t-elle tout en le bouffant du regard, d’une voix aussi sévère qu’adorablement douce. Elle veut qu’il la supplie de venir l’embrasser ici, là… Là où son désir est le plus fort et le plus torturé…
Featuring : @kwon jisoo
gabi le loup |
| | | More informations ? Âge : vingt-trois ans. Birthdate : 06/06/1995 Métier ou études : théoriquement étudiant en commerce l'université, mais il n'y mets jamais les pieds. Résidence : nam-gu Côté coeur : en couple avec hyun erin. désespérément amoureux. Journal :
- Spoiler:
"Que l'ennui est cruel, cruellement ennuyeux, je ne sais pas de terme ni plus fort ni plus vrai ; car seul le semblable se reconnaît au semblable. S'il y avait un mot plus noble et plus expressif, il y aurait du moins encore un mouvement à faire. Mais je reste étendu, inactif ; la seule chose que je vois, c'est le vide, la seule dont je vis, c'est le vide ; le seul milieu où je me meus, c'est le vide. Je ne ressens même pas les souffrances. Le vautour, lui, piquait sans cesse son bec dans le foie de Prométhée ; le poison tombait goutte à goutte sur Loke ; malgré la monotonie, il y avait pourtant là de l'interruption. Même la douleur a perdu pour moi sa vertu apaisante. Si l'on m'offrait toutes les splendeurs ou tous les tourments du monde, comme ces choses me sont également indifférentes, je ne me tournerais pas de l'autre côté, ni pour les atteindre, ni pour les fuir. Je meurs de mort. Quelle chose pourrait me distraire ? La fidélité, si je la voyais résister à toute épreuve, un enthousiasme qui soutiendrait tout, une foi qui transporterait les montagnes ; une pensée enfin, si le la percevais, qui rejoindrait le fini et l'infini. Mais le doute empoisonné de mon âme dévore tout. Mon âme est comme la mer Morte que nul oiseau ne peut survoler ; à mi-chemin, il s'enfonce, épuisé, dans la ruine et la mort." - Kierkegaard
Sue The tsundere kitten
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| | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 10.07.18 13:21 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)- chô chô -18 warning:
Jisoo ne se rend sûrement compte qu’à moitié de ce qu’il lui demande, en prononçant de tels mots. La tension est à son comble, et s’il veut désespérément Momo sur le moment, il est tout aussi curieux de voir comment elle le traiterait.. s’il lui donnait tout pouvoir. La jeune femme semble le prendre sans lui demander son avis, de toute façon, et il ne peut nier l’agréable sensation qui se crée au fond de son ventre à cause de ses initiatives. Il se donnera entièrement à elle.. ne lui a-t-il pas déjà dit ? Physiquement… sentimentalement. Et s’il ne veut pas penser à cet autre aspect de leur relation, il n’y a rien de mieux qu’un peu de sport chair à chair pour lui enlever de mauvaises idées du cerveau. Momo ne se laisse pas prier. Rien que son regard l’électrise, et il vient se mordre l’intérieur de la joue en sentant Momo se presser tout autant contre lui. Oui… qu’elle lui fasse absolument tout ce qu’elle veut. Lorsqu’elle vient commencer par blesser sa lèvre, sa seule plainte est un soupir, et sa langue vient passer sur sa plaie alors que Momo commence à… quoi ? L’attacher ? Il ne peut s’empêcher de sourire. Son coeur s’emballe. Ses poignets vont sûrement en ressortir rougis et déchirés, ses épaules endolories… Mais à ce moment là, il ne peut rien désirer de plus. Il pose son regard sur cette femme qui le surplombe et le domine totalement, et son érection empire un peu plus à la seconde. Il la laisse parler. Chacun de ses mots fait frissonner son crâne, fait se lever tous les poils sur son corps. “Je n’attends rien d’autre…” soupire-t-il pour lui répondre, en croisant son regard. Ce qu’il y lit l’excite terriblement. Il crève de chaud.
La façon dont elle lui déclame qu’il lui appartient entièrement le rend fou. Il n’a envie que de ça. Il ferme les paupières face aux baisers qu’elle vient déposer au creux de son cou, sent pour la première fois une certaine frustration de ne pas pouvoir passer son bras autour d’elle pour la serrer. Il ne peut s’empêcher de bouger un peu les bras automatiquement avant d’abandonner face à la futilité de sa tâche. Il est prisonnier. Un grognement aussi frustré qu’érotique vient lui prendre en sentant la main de Momo s’enrouler autour de son envie tendue. Il vient la confronter d’un regard aussi sévère qu’envieux. Elle le frustre.. d’une façon experte. Assez pour qu’il puisse s’imaginer en train de se venger et de la punir sans failles, si ses mains étaient détachées. Mais là, il n’est pas en position de se plaindre.. pas en position de dire non. Et en vérité, il n’en a aucunement envie. Il n’y a rien de plus grisant que de se sentir consumé par le plaisir sans arriver tout de suite à sa fin, d’être poussé au bord du précipice des milliers de fois avant qu’on ne l’y lâche. Son corps entier se couvre d’une mince pellicule de sueur, alors même qu’il ne fait aucun effort physique. Tous ses membres sont en état d’alerte, face à un plaisir plus fort que jamais. Et si chaque étreinte qu’ils partagent lui semble meilleure que la précédente, celle-ci les dépasse de loin. Il se laisserait torturer pendant des heures.
“Tu me tues…” vient-il échapper dans une plainte rauque, en seule réponse à ses questions. Il ferme à demi les paupières, et son esprit panique en ne sachant sur quelle partie de son corps se concentrer. Il tire encore sur ses mains, et n’arrive qu’à se faire un peu plus mal aux poignets. Un grognement de frustration lui échappe mais pourtant, il n’a aucune envie qu’elle le libère. Lorsqu’elle lui lance un ordre finalement, il vient rouvrir les yeux entièrement pour poser son regard dans le sien. Son souffle désordonné vient caresser ses lèvres, et il se tend d’envie à imaginer la chaleur et l’humidité de sa bouche autour de lui. C’est une voix légèrement cassée, rauque, qui passe entre ses lèvres pour lui demander sévèrement, “Goûte moi. Prends moi entre tes lèvres… Dévore moi” achève-t-il dans un soupir, louchant sur ses lèvres charnues et rosées, sentant le sang pomper douloureusement là où elle le torture le plus.
Featuring : @choi momo
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Premièrement, dis-moi juste pour qui tu te prends ? Tu as le culot d'essayer de mettre en pièce mon courage. Deuxièmement, pourquoi as-tu essayé de me faire passer pour une folle ? Je n'aurais jamais dû te faire confiance. Troisièmement, pourquoi n'es tu pas celui que tu avais juré être ? Pourquoi m'as-tu laissée brûler ici ? J'étais trop jeune pour subir cette douleur. Je me sens condamnée dans les chambres d’hôtel, plaquée contre le mur. Comptant les blessures et j'essaye de toutes les engourdir. Je t'ai tout donné de moi : mon sang, ma sueur, mon cœur et mes larmes. J'étais là quand il n'y avait personne. T'en rends-tu compte ?
Son regard me traverse le corps comme une longue aiguille, on dirait bien qu'on est cuit. Nous deux dans la même voiture on fonce vers la mort. On se déteste tellement qu'on refait l'amour... parce que c‘est comme de la drogue on a de quoi planer, sur mon dos son torse fait de l'aquaplaning. Le problème c‘est que ça me rappelle pourquoi je l'aime, je revois le début, les premières semaines, on pourrait repartir à zéro et prendre le premier avion comme dans un film de merde
Mais c'est du délire...
Garde le sourire, plus rien est grave
tant qu‘il nous reste une seconde
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Messages : 2357 | | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 16.07.18 20:57 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)- -18 hot hot hot:
Tant mieux si elle le tue. C’est le but. L’unique souhait qu’elle semble capable d’exhausser en ce qui le concerne. Ce n’est pas seulement du sexe, mais ça passe forcément par là pour communiquer lorsqu’il s’agit d’eux deux. Une relation basée sur la luxure et les malentendus, l’image publique d’un couple aux traits parfaits et pourtant si laid parfois… bien trop rempli de défauts. Etre en couple… Est-ce que c’est comme ça que ça fonctionne ? Coucher ensemble, se faire autant de mal que de bien, se séduire sans relâche et se rejeter l’instant d’après ? Qui est-il vraiment ? La considère-t-il réellement comme sa petite amie ? La prend-t-il vraiment pour sienne… tout en sachant pertinemment qu’au fond, ses pensées sont tournées vers un autre homme ? Momo ne sait pas quoi penser. Évidemment qu’elle est attachée. Évidemment qu’elle tient à lui. Seulement, plus les jours passent et plus le sentiment de jouer la plus belle des comédies se fait ressentir. Une magnifique mascarade. Ils ne sont pas mis ensemble comme les gens lambda qui « s’aiment » le font, mais plutôt par nécessité… ou pour des raisons bien trop complexes à expliquer. Un intérêt commun, une envie peut être moins affirmée qu’il le faudrait réellement. Elle le veut. Elle le veut pour se sentir vivante. Elle le veut pour pouvoir montrer aux yeux de tous qu’elle est capable de garder un homme si elle le désire réellement. Tellement égoïste et immature, en réalité... Elle souhaite qu’il lui appartienne pour apprécier encore plus l’alchimie qui subsiste entre eux. Une attraction aussi dérangeante qu’additive, qui devient toujours plus forte à chaque retrouvaille ardente. Ce n’est pas lui… mais l’illusion est trop agréable pour ne pas apprécier ce que Jisoo lui apporte. Il la soigne… et la tue tout autant. Dieu que les hommes pouvaient être merveilleusement détestables. Et elle, elle espérait bien le rendre dingue encore longtemps.
Cette façon sévère qu’il a de lui demander de le gouter ne fait qu’empirer l’excitation d’une Momo qui ne résiste pas à sourire alors ; aussi tendre que narquoise. Insolente. Démone. Si adorable, paradoxalement. Son bas ventre brûle de désir et d’envie. Elle va le prendre. Elle va le dévorer. Avec tellement de ferveur… qu’il la suppliera certainement de s’arrêter avant d’aller trop loin, avant que le point de non retour de l’extase menace d’être franchi. Que c’est bon d’avoir le contrôle, de décider des choses. Cette torture qu’elle lui fait subir, la japonaise l’exécute avec passion et dévotion ; entièrement prête à le faire grogner et gémir de plaisir. Descendant avec une langueur vipérine jusqu’à l’entrejambe du jeune homme, elle ne perd pas son regard un seul instant, bien décidée à le défier de ses yeux noirs jusqu’à ce qu’il en devienne profondément frustré. Même en colère, s’il le souhaitait. Il pourrait se venger après, si l’envie lui disait. Mais pour l’instant, c’était son tour. C’était à elle de le tourmenter de la meilleure des façons. Soupirant chaudement contre l’érection plus dure que jamais du coréen, la ravissante diablesse vient coller ses lèvres brulantes contre sa peau ; se contentant les premières secondes de simplement l’embrasser. Cruellement douce. Épouvantablement sage. Au bout d’une minute cependant, sa langue entre à son tour dans la danse… et c’est dans un mouvement expert que cette dernière se met à remonter jusqu’à l’extrémité de cette virilité victime de ses sévices ; le caressant d’humidité et de souffle chaud. L’acide et le sucre. L’enfer au paradis. Son regard ne lâche aucunement le sien. Ele le regarde comme si elle lui était aussi dévouée que néfaste. Aussi complice que rivale. Et alors que l’érection de Jisoo vibre contre sa bouche et sa langue, Momo finit par céder en venant le dévorer comme promis ; le cherchant avec autant de profondeur que de sensualité. Parfois tendre, parfois violente. Aucune hésitation quant au fait de le laisser s’enfoncer encore plus loin, de manquer d’air pour lui. Après des dizaines de caresses tout le long de son torse ; elle fait passer ses mains sous lui, l’oblige à relever son bassin, plante sans ménagement ses ongles dans la chair ferme de ses fesses… Lui prouvant toujours mieux à quel point il est bon de se laisser dominer entre les doigts d’une fille comme elle.
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"Que l'ennui est cruel, cruellement ennuyeux, je ne sais pas de terme ni plus fort ni plus vrai ; car seul le semblable se reconnaît au semblable. S'il y avait un mot plus noble et plus expressif, il y aurait du moins encore un mouvement à faire. Mais je reste étendu, inactif ; la seule chose que je vois, c'est le vide, la seule dont je vis, c'est le vide ; le seul milieu où je me meus, c'est le vide. Je ne ressens même pas les souffrances. Le vautour, lui, piquait sans cesse son bec dans le foie de Prométhée ; le poison tombait goutte à goutte sur Loke ; malgré la monotonie, il y avait pourtant là de l'interruption. Même la douleur a perdu pour moi sa vertu apaisante. Si l'on m'offrait toutes les splendeurs ou tous les tourments du monde, comme ces choses me sont également indifférentes, je ne me tournerais pas de l'autre côté, ni pour les atteindre, ni pour les fuir. Je meurs de mort. Quelle chose pourrait me distraire ? La fidélité, si je la voyais résister à toute épreuve, un enthousiasme qui soutiendrait tout, une foi qui transporterait les montagnes ; une pensée enfin, si le la percevais, qui rejoindrait le fini et l'infini. Mais le doute empoisonné de mon âme dévore tout. Mon âme est comme la mer Morte que nul oiseau ne peut survoler ; à mi-chemin, il s'enfonce, épuisé, dans la ruine et la mort." - Kierkegaard
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| | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 23.07.18 0:01 | |
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Il observe son sourire, vient plonger son regard dans le sien. Le fait de transpercer ses sombres prunelles envoie des frissons dans son bas ventre, et son corps se tend dans un léger soubresaut face à l’impatience latente. Oui. Elle le tue. Dans tous les sens du terme. Et il sait que ce qu’ils font là est bien plus dangereux qu’il n’y paraît. Peut-être qu’au final, ne sont-ils pas si insensibles que ça.. Mais peut-il vraiment y avoir une fin propice à une relation engagée sur le mauvais pied ? Il a envie d’y croire. Même si Momo ne lui a jamais fait de déclaration d’amour, même si lui même ne s’autorise pas encore à penser à ce genre de choses. Il a envie de rester avec elle. Il a envie de l’emmener à Las Vegas dans un peu moins d’un an, pour qu’elle agisse sur sa promesse. Elle a dit oui, non ? Et il parcourt les traits de son visage. Son envie se teinte d’une mélancolie qui n’ôte rien à son excitation. Il soupire longuement en sentant son souffle chaud contre son envie gonflée, et ne perd pas une miette du spectacle qu’elle lui offre. Il se donne entièrement à présent. C’est autant symbolique que factuel : il n’a jamais caché son inclination à donner à Momo tout ce qu’elle veut de lui… quitte à sombrer dans des eaux bien trop troubles.
Un frisson le prend tout entier en sentant ses lèvres, et, l’espace d’un instant, il ne peut résister à l’automatisme de plisser les paupières et de s’engouffrer dans un aveuglement qui ne rend la sensation que plus grisante. En vérité il a envie de l’embrasser. Il a envie qu’elle remonte et qu’il puisse prendre sa bouche à nouveau, il a envie qu’elle le détache pour qu’il l’étreigne des heures. Il a envie de se fondre en elle, ne rater aucune parcelle de son corps, et n’avoir aucun moyen de regretter de n’avoir gâché ne serait-ce qu’une minute de ce moment dans les airs. Mais il n’en fait rien. Faire étal de telles envies.. c’est se fourvoyer, non ? Elle le verra. S’il sait qu’elle peut apprécier sa sensibilité, celle qu’il a montré malgré lui quelques maigres fois au cours de leur relation, il n’a pas envie de la faire fuir entièrement. Il le fera éventuellement, se dit-il pourtant. Pourquoi est-ce que c’est comme ça, entre nous ?. Il aimerait revenir à des temps plus simples. Des temps où il n’avait pas à se soucier de ses émotions, et où il se faisait uniquement mener par des impulsions, et par ses envies peu catholiques. Maintenant, il y a une personne. Une personne à qui il tient, inévitablement, et qu’il mettrait avant lui dans la plupart des situations. En l’imaginant, son corps frémit entièrement à nouveau, pris par des pensées que son esprit trouvent effrayantes.
Il finit par rouvrir les yeux, à temps pour la voir descendre sur toute sa longueur. Il a envie de lui caresser les cheveux, la joue, il a envie de la tirer à lui, mais il est coincé. Jisoo n’abandonne pourtant pas. Alors que Momo fait preuve de prouesses qui lui arrachent quelques rauques gémissements, il tente de se débarrasser de la ceinture qui enserre ses poignets. Il se laisse guider, sursaute légèrement de sentir ses ongles s’enfoncer dans sa peau, et au même moment, parvient à trouver un moyen de se dégager. Il défait la boucle, et ne laisse aucune occasion à Momo de reprendre le dessus de la situation. Il se redresse et vient l’attraper par la taille, inverse leurs positions et la pose les fesses au bord de la table. Jisoo ne peut s’empêcher de lui adresser un sourire parfaitement diabolique, tout en venant se loger entre ses cuisses, passant les bras autour de son cou pour les lier derrière en lui adressant le plus coquin des regards. “Tu as osé ?...” répète-t-il comme elle l’a fait tantôt, en faisant référence à la manière dont ses ongles ont imprimé des demi lunes sur son postérieur. Il approche son visage du sien, laisse leurs lèvres se frôler, et glisse une main sous le dernier morceau de tissu qui reste sur son corps. Tout en venant se loger dans le creux de sa mâchoire, ses doigts viennent attester de l’importance de son envie, et deux se faufilent dans son intimité sans ménagement pour lui arracher un gémissement. Jisoo vient mordre sa mâchoire, descend jusqu’à son menton. Il finit par venir la regarder, tandis que sa main se retire de sa chaleur pour faire descendre sa culotte le long de ses jambes. Le jeune homme finit par s’agenouiller devant la table, enroule ses bras autour des cuisses de Momo avant de venir passer sa langue sur le long de son intimité en partant du bas, finissant par un coup de langue adroit contre son point sensible.
Featuring : @choi momo
gabi le loup |
| | | Choi MomoPrincesse du vice More informations ? Âge : 20 ans Birthdate : 07/07/1998 Métier ou études : Petit génie en fac de sciences. Mannequin. Côté coeur : Une histoire gachée et une autre jamais commencée. Seule la haine l'enlace à présent, ainsi que les remords. C'est tellement plus facile de se détruire et de faire mal aux autres plutôt que s'avouer vaincue et triste... Journal :
スムーズ·クリミナル
We sex again in the morning,
my breasteses is your breakfast
We going in, we be all night ♡
Playlist : The diva dance - Princesse - I'm a mess - Yeux disent - PVP - Dangerous woman - Comment je vais faire - Les filles désir - There are worse things I could do - Le mal est fait - Look What You Made Me Do - Alien - Finir mal - Can't Remember To Forget You - Désolé - Don't cha - à fleur de toi - Oui, je l'adore - Bécane - C'est écrit - Monster - La belle et le bad boy - 뚜두뚜두 - Love you more - Les meilleurs ennemis - (Not) the one - Le chemin - Liberian Girl - Paradise Circus - L'amour avec toi - Just another girl - à ma place - On n'oublie pas - This love - Drôle de question - Transformer - Bad girl, good girl - Lone digger - What doesn't kill you (stronger) - Crying in the club
Premièrement, dis-moi juste pour qui tu te prends ? Tu as le culot d'essayer de mettre en pièce mon courage. Deuxièmement, pourquoi as-tu essayé de me faire passer pour une folle ? Je n'aurais jamais dû te faire confiance. Troisièmement, pourquoi n'es tu pas celui que tu avais juré être ? Pourquoi m'as-tu laissée brûler ici ? J'étais trop jeune pour subir cette douleur. Je me sens condamnée dans les chambres d’hôtel, plaquée contre le mur. Comptant les blessures et j'essaye de toutes les engourdir. Je t'ai tout donné de moi : mon sang, ma sueur, mon cœur et mes larmes. J'étais là quand il n'y avait personne. T'en rends-tu compte ?
Son regard me traverse le corps comme une longue aiguille, on dirait bien qu'on est cuit. Nous deux dans la même voiture on fonce vers la mort. On se déteste tellement qu'on refait l'amour... parce que c‘est comme de la drogue on a de quoi planer, sur mon dos son torse fait de l'aquaplaning. Le problème c‘est que ça me rappelle pourquoi je l'aime, je revois le début, les premières semaines, on pourrait repartir à zéro et prendre le premier avion comme dans un film de merde
Mais c'est du délire...
Garde le sourire, plus rien est grave
tant qu‘il nous reste une seconde
de souvenir dans le crâne...
Nos deux corps pourraient mourir
j'ai déjà fait le deuil
Maintenant pars loin de moi
une larme cachée dans l’œil...
Notre histoire n'aurait jamais pu finir
dans le calme et la tendresse
- - - - - - - - - - - - - - - -
Messages : 2357 | | Sujet: Re: birthday surprise ft momosoo (-18) 01.08.18 13:38 | |
birthday surprise à l'appartement de momo, le 06.06.2018. (vêtements)- -18 hot hot hot:
Il n’y rien de plus satisfaisant que de l’entendre gémir gravement. Rien de plus divin que de le sentir se raidir contre sa langue et entre ses doigts. Par ses baisers et cette humidité qu’elle lui offre, il s’enhardit, prend feu, se trouve au bord d’un charmant précipice. C’est grâce à elle, pas vrai ? C’est elle qui le rend comme ça… Et ce sentiment est tout simplement grisant. A force de le faire et le refaire, il semblerait qu’elle le connaisse par cœur. Elle sait ce qui le fait frissonner, ce qu’il adore, ce qu’il n’ose pas demander parfois. Du sexe pur et passionnel. Une luxure sans limite. C’est leur meilleure façon pour communiquer. Corps contre corps, lèvres contre lèvres. Et si lui donner du plaisir procure une sensation de fierté sans égale et de confiance en elle toujours plus belle, Momo veut que cette tourmente prenne une mesure supérieure. Que va-t-elle lui faire, hm ? Voyons voir… Peut être qu’elle va finir par le chevaucher après l’avoir torturé encore de longues, merveilleuses et éprouvantes minutes. Peut être qu’elle viendra serrer encore plus fort la ceinture attachée à ses poignets. Peut être qu’elle aura envie de lui mettre sa petite culotte dans la bouche afin de le faire définitivement taire. Qu’il ne se méprenne pas. Qu’il n’ose même pas comparer le sexe avec elle à celui des autres filles passées dans son lit. Ce lit, c’était le sien à présent. Elle était la reine de ses lieux, reine de son corps d’adam et de son cœur si fermé. Oui. Oui, il était à elle. Rien qu’à elle. Comme elle l’avait si bien mentionné un peu plus tôt, il lui appartenait. Kwon Jisoo était sien. Et à cet instant, la japonaise le pense si fort… que cela la pousse en le dévorer encore plus ; à l’envelopper encore plus profondément dans sa chaleur buccale sans la moindre once de gêne. Et si elle le faisait jouir comme ça ? Qu’est ce qu’ils les empêchaient de le faire pour de bon ensuite ? Il était plutôt du genre à avoir envie de nouveau très rapidement. Toujours affamé, toujours désireux. Etait-ce parce qu’il était comme ça ? Ou bien était-ce à cause d’elle ? Momo aimait à croire qu’elle avait ce pouvoir sur lui. Une attraction impossible à maitriser.
Il parvient à se libérer. Avant même de pouvoir le retenir, la japonaise se fait attrapée par la taille par un Jisoo inversant sans douceur leur position. Un Jisoo qui lui sourit diaboliquement, la rendant autant furieuse qu’encore plus excitée. Fesses posées sur le rebord de la table, elle le laisse fatalement se positionner entre ses cuisses. Un sourire fin et malicieux vient étirer la pulpe de ses lèvres pour répondre au sien. « C’est à mon tour d’être punie… ? » Questionne la démone dans un murmure aussi doux que désinvolte, chaudement. Elle le laisse frôler ses lèvres avec les siennes, fermant à peine les yeux pour continuer de le toiser sans se priver. Elle le dévisage encore plus gravement en sentant sa main se glisser doucement sous sa lingerie, en sentant la tension monter de plus en plus. Une tension qui soulève bombe encore plus ses seins nus bombés par l’envie. Momo le regarde… presque amoureusement. Il est beau. Mettant sa tête faiblement en arrière pour qu’il puisse embrasser à son aise sa petite mâchoire, un gémissement lui échappe en sentant ses doigts d’homme pénétrer sa chaleur. Ses yeux se ferment, fatalement. « Vilain garçon !… » Gronde-t-elle adorablement, tandis qu’il la mord et la rend encore plus fiévreuse. Diable. Elle a tellement envie de lui…
Elle se retrouve quelques secondes plus tard avec sa tête entre les cuisses, et sa langue contre son point sensible. Là, tout devient merveilleusement flou. Agrippant son visage de ses mains avec autant de nervosité que de tendresse, Momo laisse Jisoo la torturer à son tour, la tourmenter et lui arracher de sensuels gémissements. La chaleur et le plaisir brule son bas ventre à un point tel qu’elle doit se mordre furieusement la lèvre pour ne pas crier. Prunelles étroitement fermées, elle finit par les ouvrir pour les planter dans les siennes, tout en se redressant un peu. Il a le culot de la regarder tout en l’embrassant aussi impunément. Il doit être fier de lui, pas vrai ? De la voir prendre tellement de plaisir grâce à lui, de voir ses joues rougir faiblement à cause de sa bouche pulpeuse plaquée contre son intimité si humide et brulante... « Je te déteste…! » Peste-t-elle avec une voix pourtant si tendre, bousculant son joli minois en arrière, son petit corps nu se crispant violemment sous le plaisir qu’il lui inflige.
Featuring : @kwon jisoo
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